🏀 La France Une Nouvelle Place Dans Le Monde

Quandun élève te demande : "pourquoi vous avez si peu d'abonnés sur YT?" - Ben, parce que personne ne clique sur s'abonner, j'imagine : Avertissement: les Françaises ratent trop souvent les séances de tirs au but ! Vendredi 19, séance de tirs au but pour le Paris Saint Germain de raté (1-1, 5 à 4). Samedi 20, le Paris Fc perd sa séance de tirs au but pour son deuxième match européen face à la Roma (0-0, 5 à 4) et Dimanche matin, l’équipe de France U20 perd son EnUkraine, la fête nationale endeuillée par une nouvelle frappe russe meurtrière. Au moins 22 personnes sont mortes mercredi après que des tirs de roquettes ont touché la gare ferroviaire de Tchaplyne, dans l’est de l’Ukraine. Les États-Unis ont toutefois apporté une note d’optimisme à Kiev en annonçant une nouvelle aide Unan après leur titre olympique à Tokyo, les Bleus sont de nouveau en campagne. Les coéquipiers d'Earvin Ngapeth disputent le championnat du monde de volley-ball, en Slovénie et en Pologne UNENOUVELLE PLACE DANS LE MONDE Schéma bilan Dates Personnages Michel Debré (1912-1996) Charles de Gaulle (1890-1970) Pierre Mendès-France (1907-1982) Georges Pompidou (1911-1974) Résistant gaulliste, il est sénateur de 1948 à 1958 puis il devient Garde des Sceaux avec le retour du général de Gaulle au pouvoir en 1958. Il rédige la cons-titution de 1958 puis Startstudying Term. Hist. 6: la France, une nouvelle place dans le monde (1945-1970).. Learn vocabulary, terms, and more with flashcards, games, and other study tools. Learn vocabulary, terms, and more with flashcards, games, and other study tools. Unaperçu des vidéos consacrées au phénomène, sur TikTok. (Capture d’écran : tiktok.com) Dans le monde de l’entreprise, « le désengagement est un Posed'abord la question du recul de la place de la France dans le monde. Détaille ensuite tes arguments selon la distinction classique entre hard power (pouvoir de contrainte) et soft power (pouvoir d'influence). 1. La France compte 0,9 % de la population mondiale. C'est encore, avec le 6e PIB mondial et 3 e de l'Union européenne, une Vendredi plus de 100 000 doses de vaccin avaient été livrées dans les centres. "La France est l'un des pays au monde où l'on vaccine le plus avec les BRFio. Depuis 2007, sous les présidences successives de Nicolas Sarkozy puis de François Hollande, la politique étrangère française a entamé un virage atlantiste, en contradiction avec une tradition diplomatique héritée du Général de Gaulle. Pour être en mesure de comprendre cet héritage gaullien qui part à vau-l’eau, la lecture de C’était de Gaulle, un recueil d’entretiens menés par Alain Peyrefitte avec le général de Gaulle entre 1959 et 1969, est aujourd’hui précieux. Il nous livre la vision d’un homme politique hors norme. Une vision qui a imprégné et guidé la politique de la France pendant près d’un demi-siècle. Dominique de Villepin à l’ONU le 14 février 2003 C’est un vieux pays, la France, d’un vieux continent comme le mien, l’Europe, qui vous le dit aujourd’hui, qui a connu les guerres, l’occupation, la barbarie. » En 2003, au Conseil de Sécurité de l’ONU, Dominique de Villepin prononce ces paroles puissantes, lors d’un discours devenu historique, dans l’objectif de faire opposition au projet américano-britannique de guerre en Irak. Cette position française est la manifestation d’une des dernières lueurs de la grande politique extérieure française menée au cours des années 60 par le général de Gaulle. Depuis dix ans environ, la France est entrée dans une nouvelle ère, celle de l’assujettissement à la politique extérieure américaine. C’est un des fondements de la Vème République que l’on passe par pertes et profits. La Vème République est née d’une réaction à l’impuissance. L’impuissance de la IVème République à trouver une stabilité politique ; l’impuissance d’une république moribonde à répondre aux nouveaux défis de la France face aux enjeux du monde de l’après-guerre ; l’impuissance d’un pays face à la guerre d’Algérie qui entraîne la France dans un conflit qu’elle refuse de nommer. En 1958, de Gaulle apparaît comme le recours salvateur, le seul capable de redresser la situation d’un pays au bord du gouffre. Afin d’enrayer cette crise politique et institutionnelle, de Gaulle fonde la Vème République, régime présidentiel capable d’offrir à la France la stabilité et à son président les moyens concrets pour résoudre les crises qui secouent alors le pays. Rapidement, malgré un positionnement ambigu lors de son arrivée au pouvoir, de Gaulle, en tant que premier président de la Vème République, comprend que la France doit clore au plus vite la guerre d’Algérie. Cette guerre plombe en effet l’économie, entretient un climat insurrectionnel et discrédite la France sur la scène internationale. Il confie en 1959 à Alain Peyrefitte lors de l’un de leurs entretiens Le drame algérien, il ne se confine pas à l’Algérie elle-même, ni aux rapports entre la France et l’Algérie. Il affecte les Français eux-mêmes. Il pourrit tout en France. Et il mine la situation de la France dans le monde. » La France a fini de se blottir Les accords d’Evian de 1962 terminent peu après cette sale guerre » et permettent enfin à la politique étrangère gaullienne de se déployer dans toute son ampleur la France se tourne alors pleinement sur le monde. Un monde bipolaire, partagé entre l’URSS et les États-Unis. Pour de Gaulle, le pays a un rôle essentiel à jouer face à cette polarisation des relations internationales. La France doit marquer sa différence et influer sur le sort des nations dans le sens de ses propres intérêts mais aussi dans celui des peuples du monde. Il s’agit là de la conviction de l’homme du 18 juin La France, chaque fois qu’elle est-elle même, est humaine et universelle. La vocation de la France, c’est d’œuvrer pour l’intérêt général. » De Gaulle à Londres durant la guerre À cette fin, la France se doit de s’arracher à l’emprise américaine, subie depuis la fin de la seconde guerre mondiale, emprise que la faiblesse politique de la IVème République avait entretenue. Pour le fondateur de la Vème République, la voix de la France ne peut être réellement entendue tant qu’elle se cantonne à être l’écho de la voix américaine. La France doit cesser de rester dans l’ombre et œuvrer en toute indépendance à la défense de ses valeurs et convictions Voyez-vous, la France est souveraine. Ou plutôt elle le redevient, ce qui ne lui était pas arrivé depuis la première guerre. Elle s’était blottie à l’ombre des anglais dans l’entre-deux guerres, puis des américains après la seconde. Tout ça, c’est fini. La France a fini de se blottir. » Dans la pensée gaullienne, la souveraineté réside exclusivement dans la nation. Cette dernière est sacralisée et a le devoir de rester indépendante. La nation ne peut pas être autre qu’autonome et émancipée de toute influence étrangère, position impossible à tenir sous la domination américaine étreignant la France avant 1958. Ce raisonnement s’inscrit dans une continuité, celle du combat de de Gaulle à la tête de la France Libre durant la Seconde Guerre Mondiale. En effet, pour lui, Vichy avait trahi la nation et ne pouvait donc incarner la France, son gouvernement étant sous domination étrangère. En 1960, dans cette logique et pour sanctuariser le territoire national, de Gaulle fait entrer la France dans l’ère du nucléaire militaire et quitte, en 1966, le commandement intégré de l’OTAN. Une nécessité pour ne pas être dépendant d’une dissuasion nucléaire dirigée outre atlantique et d’un commandement militaire américain sous lequel l’ensemble de l’Europe occidentale est assujetti. Cependant, cette prise d’indépendance ne doit pas être un acte d’hostilité. La France se doit de maintenir l’alliance avec les États-Unis. Ils devraient comprendre que le meilleur allié des États-Unis, ce n’est pas celui qui s’aplatit devant eux, c’est celui qui sait leur dire non. » Nicolas Sarkozy tourne le dos à l’héritage gaulliste Comme elle semble lointaine, aujourd’hui, cette volonté d’indépendance, alors que notre politique extérieure est toujours plus inféodée à la puissance américaine comme les dernières crises internationales en sont un exemple flagrant Syrie, Ukraine, Iran… Nicolas Sarkozy et François Hollande semblent avoir tous deux enterré l’héritage gaullien encore défendu auparavant par Jacques Chirac, dernier héritier, en matière d’affaires étrangères, de cette posture gaullienne. Un héritage pourtant longtemps partagé à gauche et à droite. C’est maintenant son achèvement le plus radical qui semble unir notre classe politique dont la médiocrité n’a d’égal que son manque de vision stratégique. Elle enterre ainsi ce qui avait fait le rayonnement de la France depuis presque 50 ans et lui avait permis de peser dans le jeu international, malgré un poids politique et économique toujours plus faible. Pour parachever cette perte totale de souveraineté, la Défense Nationale, clé de voûte de l’indépendance du pays dans la pensée gaullienne, est également remise en cause, considérée tragiquement comme une simple variable d’ajustement budgétaire par de biens sombres fonctionnaires de Bercy dont les tableaux comptables semblent prioritaires sur la sécurité du pays. Dans un monde instable, et toujours plus menaçant, voilà une attitude potentiellement funeste. La France, sans un outil militaire performant doublé d’une diplomatie réellement indépendante, voit son influence sur le monde diminuée. Ne pas partager cette vision politique est évidemment légitime, mais se réclamer d’un héritage gaullien, comme le font la plupart des responsables politiques actuels de gauche comme de droite, tout en liquidant violemment ce qui en fait son essence est d’un cynisme absolu. Un cynisme qui discrédite toujours plus le pouvoir politique dont les sondages démontrent la rupture plus que consommée avec le peuple français. Mais quelle Europe ? L’image marquante du président Mitterrand et du chancelier Kohl, main dans la main à Verdun, fait parfois oublier que de Gaulle a grandement contribué, lui aussi, au réchauffement des relations franco-allemandes. Ainsi il a très rapidement voulu associer les deux pays pour construire une Europe continentale unie face aux puissances anglo-saxonnes, dont l’impérialisme politique et économique lui apparaissent comme de véritables menaces pour les intérêts français. Pour cela, la France, sous sa présidence, va œuvrer à la cicatrisation des blessures de guerres des deux pays. Il n’y aura pas de construction européenne si l’entente de ces deux peuples n’en est pas la clef de voûte. C’est la France qui doit faire le premier geste, car c’est elle, en Europe occidentale, qui a le plus souffert. Pour de Gaulle, l’union des pays d’Europe est également une nécessité pour contrer les deux super puissances de la Guerre Froide. Toutefois, loin de notre Union Européenne supranationale, il s’agit dans sa pensée de créer une coopération entre nations sans pertes de souveraineté pour les pays membres. L’idée même de créer une entité communautaire capable de prendre en main une partie du destin national est inconcevable. Vouloir faire l’Europe supranationale sans les nations, ou à plus forte contre les nations, c’est une absurdité ! La seule réalité internationale qui tienne, au moins dans ce siècle et sans doute, dans le prochain, ce sont les nations. » Le parlement européen L’évolution de l’Union Européenne depuis le traité de Maastricht en 1992 est à l’opposé de l’Europe conçue par le général de Gaulle. La perte de souveraineté, au profit de fonctionnaires sans légitimité démocratique et à l’autorité toujours plus grande, est en opposition complète avec sa vision du pouvoir politique. Mais quelle Europe ? Il faut qu’elle soit véritablement européenne. Si elle n’est pas l’Europe des peuples, si elle est confiée à quelques organismes technocratiques plus ou moins intégrés, elle sera une histoire pour professionnels, limitée et sans avenir. » Plus de 50 ans ont passé depuis cette prédiction pessimiste, à une époque où l’idée européenne était encore balbutiante. Or, la prédiction semble s’avérer juste. Le rejet de l’Union Européenne est grandissant les dernières élections du parlement européen l’ont brutalement prouvé. La vision politique du général de Gaulle n’est donc nullement désuète et semble, plus que jamais, nécessaire pour réorienter la politique étrangère française. Cette pensée a des principes simples et clairs souveraineté des peuples, indépendance nationale et condamnation de toute forme d’impérialisme. Une politique étrangère se doit d’avoir ainsi un axe et une continuité d’action sur le long terme. Il est temps pour la France de retrouver cet axe gaullien qui a fait l’honneur de sa politique étrangère et assuré son prestige sur la scène mondiale. Comme tout le monde, les Français entretiennent des superstitions, c'est-à-dire des croyances - sérieuses ou moins sérieuses, fondées sur la signification positive ou négative de certaines actions, de certaines situations. Selon la définition commune, une personne superstitieuse est une personne qui voit des signes favorables ou néfastes dans certains faits. Blanc ou noir, bien ou mal, bon ou mauvais, de nombreux petits faits peuvent "porter bonheur" ou "porter malheur". Il est utile de les connaître, afin d'éviter des maladresses culturelles embarrassantes ou, au contraire, afin de faire plaisir. Ce qui porte chance - Toucher du bois en faisant un souhait - Trouver un trèfle à quatre feuilles - Accrocher un fer à cheval au-dessus de la porte - Casser du verre blanc - Marcher du pied gauche sur une crotte de chien - Toucher le pompon rouge du béret d'un marin - Voir une coccinelle s'envoler - Voir un arc en ciel Ce qui porte malheur - Quand le 13 du mois est un vendredi - Mettre des habits neufs un vendredi - Treize convives autour d'une même table - Placer le pain à l'envers sur la table - Renverser du sel sur la table - Croiser un chat noir la nuit - Passer sous une échelle - Offrir des chrysanthèmes ou des oeillets - Poser son chapeau sur un lit - Ouvrir un parapluie dans une maison - Casser un miroir = 7 ans de malheur - Allumer trois cigarettes avec la même allumette Autres superstitions - Dépasser une personne dans un escalier, annonce une dispute. - Deux personnes qui se servent de la même essuie-mains, vont se quereller. - Croiser deux couteaux sur une table, porterait malheur. - L'entrée d'un oiseau dans la maison, annonce une mort. - Se réveiller par le cri de l'oie, est signe de gros problèmes. - Cracher sur une pièce de monnaie trouver par terre, donnerait la chance d'en donner d'autre aux autres. - Trouver une pièce avec notre année de naissance, porte chance. - Trouver et ramasser une épingle, amène la chance toute la journée - Trouver un fil blanc sur notre vêtement, apporte la joie. - Briser du verre blanc apporte la joie. - Mettre son pyjama par le pied droit, ferait passer une nuit agréable. - Une chaise berçante qui se berce toute seule annonce une visite imprévue. - Mettre du sucre à la place du sel, serait l'arrivée d'une bonne nouvelle. Le numéro 13 - Dans le tarot, la lame 13 n'a pas de nom. Certains y voient la mort, d'autres la renaissance. - En Babylonie le 13ème mois d'une année bissextile s'apparentait au corbeau, animal maléfique. - Etre 13 à table annonce la disparition de l'un des convives présents. - Pour les chrétiens, le 13 évoque Judas lors de la cène. - Aux Etats-Unis vous n'aurez jamais la chambre d'hôtel n°13, elle n'existe même vous ne dormirez jamais au 13ème étage et vous ne vous installerez jamais à bord d'un avion dans siège portant ce chiffre. - Les Indiens du Mexique voyaient dans le 13 la marque du temps. - Dans la tradition hébraïque, le 13 est associé à la métamorphose, symbole de chance. Ainsi, il est souvent considéré comme un porte-bonheur. Le pain - En Angleterre, des pains unis dans un four annoncent un mariage. - Aux Pays-de-Galles, des trous dans la mie présagent une naissance. - En Ecosse, il est interdit de chanter pendant sa cuisson. - Aux Etats-Unis, s'il n'y a plus de pain, le beau temps arrive. - Au Portugal, un morceau de pain avec le symbole d'un saint favorise la chance. - Au Maroc, il évite le bégaiement. Le sel - Renverser du sel sur la table est encore considéré, de nos jours, comme un mauvais présage. Heureusement, il suffit de prendre une pincée de sel renversé et de la jeter par-dessus son épaule pour conjurer le mauvais sort ! - Au Moyen Age, le sel conjurait le mauvais sort il fallait en mettre dans les coins de chaque pièce d'une maison. - Pour les Danois, faire tomber du sel provoque la chance. - En Espagne, du sel trouvé dans le lit conjugal indique un conflit. - Pour connaître le sexe de votre futur enfant, mettez du sel sur votre poitrine. S'il fond, ce sera une fille, sinon ce sera un garçon. - Si vous n'en avez plus, n'en demandez pas à votre voisin, cela porte malheur. L'ail - Grecs et Romains l'utilisaient pour combattre ou pratiquer un sport. - En Babylonie, il était censé chasser les mauvais esprits. - Les Egyptiens le pendaient au cou des enfants pour purger leurs intestins. - En France, l'ail permettait de résister à l'alcool ou était utilisé en cataplasme antiverrue. - Au Japon, il protège des dangers pulmononaires. L'oeuf - En Grèce, jeter un oeuf dans le feu permettait de prédire l'avenir. - Pour éviter qu'ils ne s'enrhument, les Arabes accrochaient un oeuf au plafond de la chambre des enfants. - Les Anglais refusent de pronocer le mot oeuf en mer, cela porte malheur. - Aux Etats-Unis, on lance le premier ou le dernier oeuf de la saison pour être heureux. - Un oeuf cassé par erreur, apporte une bonne nouvelle. Les ciseaux - Une dispute éclatera si vous recevez des ciseaux sans les avoir échangés contre une pièce ou si vous vous êtes piqué avec, car ils peuvent couper l'amitié. - Ouverts sur une table, ils provoquent la violence. - Les Anglais les cachent sous un coussin pour faire fuir les indésirables. - En Méditérranée, on les glisse sous le lit des enfants pour les protéger. - Enceinte, si vous laissez tomber des ciseaux, vous aurez une fille. Le peigne - Au Japon, le peigne unit le ciel et la terre et transforme les choses. - On ne doit jamais prêter son peigne, sinon la chance partira avec. - Si vous en trouvez un, la chance vous sourira, à condition de ne pas l'utiliser. L'araignée - En France, une araignée annonce la chance comme en Chine. - N'ayez pas peur de la laisser grimper sur vos vêtements pour être riche prochainement. - Mieux vaut la croiser le soir espoir que le matin chagrin. - La tuer porte malheur. - Aux Etats-Unis, une araignée laisse présager un adultère. Le couteau - En France, il ne faut jamais croiser deux couteaux ou un couteau et une fourchette sur une table; le malheur rentrerait dans la maison. En revanche il est bon de les croiser sur une fenêtre, à l'extérieur de la maison, afin qu'elle soit protégée des mauvais esprits. - Si vous souffrez de maux d'estomac, placez deux couteaux en croix sur votre ventre afin que la maladie s'éloigne. - Un couteau au tranchant exposé porte malheur, sauf en Bretagne où il annonce une union. - Vous ne devez jamais offrir ou accepter de recevoir en cadeau des couteaux. L'amitié sera brisée, à moins que vous donniez une pièce de monnaie en échange. - Faire tomber un couteau annonce une visite dans la journée. - En Angleterre, pour savoir si on aura de la visite, on prend un couteau sur la base duquel on pose le majeur et l'index. En remontant vers la pointe on fait d'abord passer le majeur sur l'index il vient, puis on replace l'index à côté du majeur il ne vient pas, et ainsi de suite jusqu'à la pointe. - Si vous souhaitez dormir tranquille, placez un couteau sous votre matelas. Ainsi vous n'aurez plus de cauchemars. Les dents - Rêver que l'on perd ses dents est signe de mort, car la dent est symbole de vitalité, de sexualité et de procréation. - Si vous vous grincez des dents la nuit vous serez protégez des fantômes. - Ne jetez pas vos dents, gardez dans un écrin ou mettez les sous terre poue être préservé du malheur. Enterrés sous la maison, elles éloignent les mauvaises ondes. - Les anglais préférent les placer prés de leur lit avec du sel. - La tradition veut qu'un nourrisson qui fait ses dents de bonne heure ait rapidement un petit frère ou une petite soeur. Pour en connaître le nombre, compter ses dents avant l'âge d'un an. - Si un enfant nait avec des dents était un signe de mauvais augure chezles Romains, il présage de grands bonheurs dans d'autres civilisations. Les cheveux - Ils sont symbolent de virilité Samson par exemple. - En Occident faire un noeud avec ses cheveux et ceux de l'être convoité favorise l'amour. - Si vous trouvez un cheveu sur votre épaule, vous recevrez une nouvelle. - Les Russes évitent de se coiffer la veille d'un examen, de peur d'échouer ou d'oublier ce qu'ils ont appris. - En France, les cheveux frisés sont synomymes de forte personnalité, et quiétude en Angleterre. Le parapluie - Ouvrir un parapluie dans une maison portait malheur et était considéré comme un blasphème. - Le déployer par beau temps attire la pluie. Pour les Américains pensent que le sortir empêcherait le mauvais temps de venir. - Ne jamais poser votre parapluie sur un lit car vous aurez à subir une dispute familiale dans les heures suivante. De la même manière, ne le mettez pas sur un table. Le balai - Balayer devant sa porte empêche les mauvais esprits de rentrer chez soi. Mais il ne faut jamais le faire après le coucher du soleil ou le jour de la Tousaint. Ne chassez pas la poussière à l'extérieur car la chance partirait avec. - Les Chinois retiraient le balai en présence d'un mort, craignant qu'il ne se transforme en fantôme. - les Américains ne le posent jamais sur un lit de peur que cela ne présage un décès. - Les Ecossais le jettent vers quelqu'un pour lui souhaiter bonne chance. - les Africains pensent que frapper un homme avec le rend impuissant. Le chat - En Egypte, le chat et la divinité Bastet, la chatte, sont des figures positives. Les cendres d'un chat incinéré après sa mort chassaient les mauvais esprits. Les enfants portaient une représentation de l'animal en médaillon autour du cou pour éviter tout danger. - En Occident, le chat évoquait à la fois l'hypocrisie et la sournoiserie. - Le chat noir était réputé pour être le compagnon des sorcières et du diable. - Croiser un chat en Perse, dans le monde arabe ou en France annonçait un grand malheur. - En Turquie, il présageait une dispute. - Les Américains n'aiment pas voir un chat le matin, signe d'une mauvaise journée. - En Chine, il préservait des mauvais esprits; au Cambodge, sa venue signifiait le retour de la pluie après la sécheresse. - Les Africains estiment qu'il est le seul animal refusant une alliance avec le mal. - En Angleterre, avoir un chat en motifs imprimés sur ses vêtements favoriserait la chance. Le trèfle - Le trèfle lié à l'Irlande et à son saint patron saint Patrick symbolise la conscience de ce peuple. - Il est aussi synonyme de chance et d'argent. - La rareté du trèfle à quatre feuilles a fait sa renommée et créé son sens. Pourtant, c'est sur les tombes que l'on portait du trèfles, sans doute afin de dynamiser l'âme du défunt. - Pour le Grec Sophocle, cette plante renfermait un venin terrible alors que, pour le Romain Pline, elle devenait l'antidote à la morsure de serpent. - Si les feuilles du trèfles s'élèvent, l'orage grondera bientôt. - La magie s'en servait pour créer des filtres d'amour. - Si vous trouvez un trèfle à quatre feuilles et le glissez dans la poche de l'être convoité, il ne pourra vous résister. - En Angleterre , le trèfle à cinq feuilles vous permettra de gagner gros à la loterie; mais aux Etats-Unis, il vous portera malheur. - Si vous glissez un trèfle sous votre lit ou votre oreiller, aucun fantôme ne viendra jamais troubler votre sommeil. La couleur blanche - En Afrique, les premiers blancs furent assimilés à des revenants. - Au Mexique, les Aztéques honoraient les morts avec la couleur blanche. Le linceul n'est-il pas blanc, symbole d'immortalité. - Chez les Chinois, le blanc marque la vieilesse et la mort, comme au Maghreb et en Afrique noire. - En Occident, le blanc est symbole de pureté et de chasteté, couleur que l'on retrouve dans la robe de mariée. - Pourtant rêve de blanc est signe de deuil. - Si vous avez un entretien portez-en pour triompher. La couleur noire - Symbole de la mort et de la malédiction, le noir est mal perçu. - Pourtant, en Egypte, associé au dieu Min, il signifiait la fertilité. - Aujourd'hui, la soutane noire du prête est symbole de charité et d'humilité. - En Afrique, les femmes portent du noir pour éviter l'éblouissement des sentiments. - Au Mexique, la Vierge noire est le symbole de la foi. - En Asie, le Yin est représenté par le noir et le cercle blanc à l'intérieur évoque, lui, la renaissance. La couleur verte - En Chine, Porter du vert est bénénfique. - En Occident, le vert était mal vu car, au Moyen Age, c'était la couleur des habits des fous et es sorcières. - D'autres pensent que porter du vert préserve des ennemis. - L'émeraude évite les afflictions et, malgré cela, en porter attire le danger, car cette pierre était également celle du diable. - Les Anglais n'apprécient guère qu'un convive porte du vert à un mariage. - Chez les musulmans, le vert, couleur du prophète, porte chance. Il y a actuellement 9 commentaires Tous les signaux étaient au rouge à la fin du printemps dernier, et l’été s’annonçait des plus périlleux pour les urgences en France, y compris dans la région. Quel premier...Tous les signaux étaient au rouge à la fin du printemps dernier, et l’été s’annonçait des plus périlleux pour les urgences en France, y compris dans la région. Quel premier bilan tirez-vous ? Nous n’avons pas encore recueilli toutes les données, l’été n’est pas terminé. Cet état des lieux est donc relatif, mais force est de constater que nous n’avons pas observé de plaintes émanant d’usagers, ni de problèmes graves, en dehors de quelques situations indésirables devenues hélas, chroniques. Le ressenti est plutôt stable, pas de quoi applaudir des deux mains, loin de là, mais du point de vue des professionnels de santé, nous n’avons pas non plus réceptionné de retours de tensions extrêmes. Le système mis en place au printemps a tenu. Qu’est ce qui a fait tenir » la situation, alors même qu’elle semblait désespérée, à votre avis ? L’engagement du monde de la santé, des soignants, des agents hospitaliers, de la médecine de ville, infirmiers, médecins généralistes. Sans équivoque, eux ont tenu, ils ont tous joué le jeu au détriment parfois de leur propre vie privée. La crise des urgences au printemps a généré la mise en œuvre du rapport du ministre François Braun, soit l’ouverture d’une boîte à outils dans laquelle les établissements ont pu piocher afin d’adapter certains outils à leur situation. Pour autant, la réalité reste très très tendue, car la crise des urgences n’est que la partie émergée de l’iceberg. Aujourd’hui, on peut dire que l’offre de soins a rempli l’objectif, en ne laissant personne sans prise en charge. Benoît Elleboode, directeur de l’ARS Nouvelle-Aquitaine Cet été les urgences ont tenu ». Fabien Cottereau/SUD OUEST Aucune mesure n’a réussi seule à contenir la situation, c’est l’ensemble des mesures, et avant tout, l’implication des acteurs de terrain Quelles sont les mesures Braun qui ont fonctionné et permis aux urgences de résister ? Les mesures Braun ont permis aux équipes de trouver des solutions temporaires, sachant qu’elles seront évaluées au bout de quatre mois. Certaines deviendront pérennes, disons qu’elles sont actuellement à la fois mises en œuvre et en cours d’évaluation. Les principales concernent la régulation des urgences par le centre 15, la double rémunération pour les gardes et astreintes hospitalières, la campagne de communication pour l’utilisation du 15, la mobilisation des infirmières de ville pour les soins ambulatoires, le prolongement du remboursement à 100 % des actes de téléconsultation… Certains services d’urgences ont été ponctuellement fermés, avec des patients réorientés, d’autres ont connu des suspensions d’activité avec des régulations. Quels ont été les points durs ? Sur nos 66 services d’urgences dans la région Nouvelle-Aquitaine, hôpitaux publics et établissements privés compris, 19 ont été en difficulté et ont dû subir des adaptations, ce qui fait 29 % de points durs. En revanche, aucun service d’urgence d’établissement de support n’a été suspendu. Les difficultés viennent du manque de personnel soignant. Le recrutement et la baisse de l’attractivité vis-à-vis de l’hôpital restent un problème à traiter. Quid de la fermeture des lits ? Cela ne veut pas dire grand-chose. Les lits physiquement existent, mais ils manquent de personnel soignant pour aller avec. Ainsi en Gironde et dans les Landes, nous avons connu des graves incendies et des Ehpad ont dû être évacués d’un jour à l’autre. Or nous n’avons eu aucun problème pour accueillir jusqu’à 70 et 80 personnes âgées dans les hôpitaux et les établissements de santé. La preuve que les lits sont disponibles. Cela a été possible, parce que les résidents des Ehpad ont été relogés tout en conservant leur personnel soignant. Il faut réarmer » les lits. Vous dites que l’hôpital et les urgences globalement n’auraient pas tenu » sans le soutien de la médecine de ville. De quelle manière ? Les médecins généralistes et les infirmiers ont assuré la permanence de soins en ambulatoire tout l’été, plus de 50 % d’entre eux étaient mobilisés en Nouvelle-Aquitaine, alors que la moyenne nationale a été de 38 %. Chapeau. La médecine de ville est très impliquée dans la région, ce dont on se félicite. Objectivement, les mesures Braun, l’implication de la médecine de ville, celle des hospitaliers ont permis de retrouver un équilibre. Cette association pourrait-elle perdurer de cette manière ? On ne peut pas se satisfaire d’une offre de soins en mode dégradée, comme ce fut le cas cet été. Nous avons traversé la saison sans gros couac c’est vrai, mais à quel prix. Les soignants ont beaucoup donné, encore une fois, certains ont pris des gardes une nuit sur deux ! La conférence des parties prenantes va se tenir en septembre au plan national, puis régional, il s’agira de réfléchir aux mesures à prendre pour sauver le système de santé.

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