đŸŒ Mon Employeur Me Dit De Rester Chez Moi

LaprĂ©cision des motifs du licenciement. Par JĂ©rĂ©my Duclos, Avocat. Dans un arrĂȘt du 29 juin 2022 (n° 20-22.220), publiĂ© au bulletin, la chambre sociale de la Cour de cassation a apportĂ© une prĂ©cision importante dans l’exercice de rĂ©daction par l’employeur de la lettre de licenciement. Le litige concernait la contestation devant la juridiction prud’homale d’un Dansla plus part des cas, ils sont Ă  mĂȘme de te rĂ©pondre et de t'orienter dans les dĂ©marches Ă  entreprendre. Ton contrat de travail t'astreind vis-Ă -vis de ton employeur Ă  lui fournir un travail contre rĂ©munĂ©ration. A l'inverse, celui-ci s'engage Ă  te fournir un travail pour le temps prĂ©vu Ă  ton contrat. Jeviens d'avoir une retention de permis de conduire en conduisant mon vehicule personnel, etant Aller au contenu. Rechercher Dis-moi mon droit. Une rĂ©ponse instantanĂ©e en 3 clics. Menu. Accueil; Forum; Articles Notreexpert, le juriste Mohammed Jamal Maatouk, va consacrer cette rubrique lors des trois prochains mois au code du travail. Si vous avez des questions sur ce sujet, n’hĂ©sitez pas Ă  nous les envoyer Jesuis chez moi, Ă  Nantes parce que j’ai mon petit qui va Ă  l’école donc on est restĂ© en famille. Pour le business, je vois quand mĂȘme des clients en physique (en Ă©tant trĂšs vigilante) donc c’était important de rester disponible. vv. Si tu devais te dĂ©crire en 3 mots ? En premier, je dirais Énergie, apparemment j’en dĂ©gage Varanereconnait avoir discutĂ© avec Casemiro « Il n'avait pas besoin de moi pour le convaincre de venir ici, mais Ă©videmment j'ai parlĂ© avec lui.Il a Monpatron souhaite vendre une partie de sa clientĂšle pour garder seulement le second cabinet qui l a achetĂ© il y a un an. Il va vendre le reste de sa clientĂšle a un autre expert comptable Il me propose ou de me vendre a l autre cabinet ou de me faire rupture conventionnelle ou de me faire un licenciement Ă©conomique. QuatriĂšmevolet de notre chronique, avec deux experts, Mes HervĂ©-Georges Bascou et Aurore Portefaix, avocats, docteurs en droit au cabinet Bascou-Cayez AssociĂ©s. Pourcet etĂ©, si ta fille n'a que 4 mois maintenant elle sera beaucoup trop petite pour etre face Ă  la route, donc elle devra rester dans le cosy. Dos Ă  la route c'est plus sĂ©curitaire que face Ă  la route. Face Ă  la route c'est le plus tard possible, meme si on dit 9 mois 9 kg, plus tard c'est, mieux c'est. F0JY. Je viens d’avoir une retention de permis de conduire en conduisant mon vehicule personnel, etant chauffeur livreur en cdi mon employeur m’a dit par sms, un apres midi alors que j’etais au travail, de rester chez moi les jours suivants. Je peux tout a fait me rendre sur mon lieu de travail, et travailler en doublon avec un collegue, ce que je fais depuis plusieurs mois car mon role est de remplacer mes collegues s’ils sont amenĂ©s a etre absents. Mon employeur a t il le droit de me demander de rester chez moi? Merci d’avance pour votre reponse. PostĂ© Il y a 2 ans RĂ©ponses 1 Bonjour, Votre permis Ă©tant nĂ©cessaire pour l’exĂ©cution de votre travail, vous ne pouviez pas l’exĂ©cuter pendant la rĂ©tention de votre permis. VĂ©rifiez les clauses de votre contrat de travail, il existe peut ĂȘtre une clause sur la rĂ©tention du permis et les consĂ©quences. Mais si votre travail consiste uniquement Ă  la conduite, votre employeur pouvait vous demander de rester chez vous pendant la rĂ©tention. J’espĂšre vous avoir aidĂ© et n’hĂ©sitez pas Ă  nous recontacter si vous avez d’autres questions ! a rĂ©pondu Il y a 2 ans Le licenciement verbal, faute de motif consignĂ© par Ă©crit, est nĂ©cessairement sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse, sachant qu’il est impossible de le rĂ©gulariser a posteriori. Juridiquement, les choses sont clairement posĂ©es par la chambre sociale de la Cour de cassation et ce, depuis de nombreuses annĂ©es dĂ©jĂ . Mais force est de constater que dans les faits, l’apprĂ©hension des situations n’est pas aussi simple
 Un employeur qui souhaite rompre le contrat de travail d’un de ses collaborateurs doit se conformer Ă  une procĂ©dure bien particuliĂšre, Ă©dictĂ©e par le Code du Travail, et parfois mĂȘme par des dispositions conventionnelles. Ainsi, celui-ci doit-il indiquer dans la lettre de licenciement les motifs du licenciement, conformĂ©ment Ă  l’article L. 1232-6 du Code du travail qui dispose Lorsque l’employeur dĂ©cide de licencier un salariĂ©, il lui notifie sa dĂ©cision par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception. Cette lettre comporte l’énoncĂ© du ou des motifs invoquĂ©s par l’employeur [...] ». La lettre de licenciement fixe, en effet, les limites du litige et c’est au regard des motifs Ă©noncĂ©s dans la lettre que s’apprĂ©cie le bien-fondĂ© de la mesure Cass. Soc., 4 juill. 2012, pourvoi n° Ainsi, le dĂ©faut total d’énonciation des motifs ou l’imprĂ©cision des motifs invoquĂ©s Ă©quivaut Ă  une absence de motif de licenciement Cass. Soc., 29 nov. 1990, pourvoi n° Ces derniĂšres jurisprudences doivent toutefois ĂȘtre regardĂ©es aujourd’hui Ă  la lumiĂšre des ordonnances Macron et de ses dĂ©crets d’application puisqu’en effet, le dĂ©cret n° 2017-1702 du 15 dĂ©cembre 2017 relatif Ă  la procĂ©dure de prĂ©cision des motifs Ă©noncĂ©s dans la lettre de licenciement a modifiĂ© les articles L. 1232-13 et R. 1233-2-2 du Code du travail. DĂ©sormais, dans les 15 jours suivant la notification du licenciement, le salariĂ© peut, par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception ou remise contre rĂ©cĂ©pissĂ©, demander Ă  l’employeur des prĂ©cisions sur les motifs Ă©noncĂ©s dans la lettre de licenciement. L’employeur dispose alors d’un dĂ©lai de quinze jours aprĂšs la rĂ©ception de la demande du salariĂ© pour apporter des prĂ©cisions s’il le souhaite. Cette possibilitĂ© est Ă©galement ouverte Ă  l’employeur qui peut, dans un dĂ©lai de quinze jours suivant la notification du licenciement et selon les mĂȘmes formes que celles prescrites pour le salariĂ©, Ă  son initiative, prĂ©ciser les motifs du licenciement. Cette possibilitĂ© est ouverte pour compenser une insuffisance de motivation initiale, mais elle ne permet pas de complĂ©ter la motivation initiale. L’employeur ne pourra donc pas invoquer d’autres motif que ceux dĂ©jĂ  mentionnĂ©s dans la lettre. Mais que se passe-t-il si le licenciement d’un salariĂ© est prononcĂ© oralement ? Le licenciement verbal, faute de motif consignĂ© par Ă©crit, est nĂ©cessairement sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse Cass. Soc., 23 juin 1998, pourvoi n° sachant qu’il est impossible de le rĂ©gulariser a posteriori Cass. Soc., 6 mars 2002, pourvoi n° ; Cass. Soc., 12 nov. 2002, pourvoi n° ; Cass. Soc., 9 mars 2011, pourvoi n° Juridiquement, les choses sont clairement posĂ©es par la chambre sociale de la Cour de cassation. Mais force est de constater que dans les faits, l’apprĂ©hension des situations n’est pas aussi simple
 Un premier exemple nous est offert par la cour d’appel d’OrlĂ©ans, dans une dĂ©cision en date du 16 mai 2017 15/02759. Dans cette affaire, un diffĂ©rend est nĂ© entre un salariĂ© et sa direction Ă  propos d’une demande d’absence. En effet, le salariĂ© se refusera de se rendre Ă  une foire exposition de sorte que la direction lui demandera de rentrer chez lui quand il se prĂ©sentera Ă  l’entreprise le matin mĂȘme de l’exposition. Pour le salariĂ©, aucun doute il a fait l’objet d’un licenciement oral dans la mesure oĂč le reprĂ©sentant de la direction lui a demandĂ© de rentrer chez lui ce qui s’analysait comme un licenciement verbal que toute rĂ©gularisation ultĂ©rieure ne pouvait abolir. Si un avertissement lui a Ă©tĂ© adressĂ© le mĂȘme jour, celui-ci ne remet pas, pour autant, en cause la mise Ă  la porte dont il a fait l’objet. Non !...lui rĂ©torque la cour d’appel il a Ă©tĂ© demandĂ© au salariĂ© de rentrer chez lui, non pour un licenciement oral, mais par ce qu’il ne s’était pas rendu au salon comme il lui avait Ă©tĂ© demandĂ©. Pour les juges, cette dĂ©cision a Ă©tĂ© prise en raison du pouvoir de direction de l’employeur sans qu’il ne puisse ĂȘtre invoquĂ© par le salariĂ© un licenciement oral et ce, en raison de l’avertissement dont avait fait l’objet ce dernier. Selon eux, cet avertissement signifiait qu’il ne s’agissait pas, dans l’esprit de l’employeur, en renvoyant le salariĂ© chez lui, de sa volontĂ© de l’évincer de l’entreprise. Nouvel exemple offert cette fois-ci par la cour d’appel de Rennes dans une dĂ©cisions du 27 fĂ©vrier 2015 13/02590. Dans cette affaire, une sociĂ©tĂ© motivait le licenciement d’un salariĂ© par son abandon de poste et considĂ©rait qu’il constituait une faute grave. De son cĂŽtĂ©, le salariĂ© invoquait un licenciement oral antĂ©rieur. Le salariĂ© ne s’était, en effet, un jour oĂč il aurait dĂ» embaucher, pas prĂ©sentĂ© Ă  son travail, ce qu’il avait expliquĂ© par le fait qu’il ne s’était pas rĂ©veillĂ©. S’étant prĂ©sentĂ© le lendemain, son employeur l’avait accueilli sur un ton agressif et l’avait renvoyĂ© chez lui, ce qui lui avait fait penser qu’il le licenciait. Ce d’autant plus qu’il se prĂ©sentait Ă  nouveau le surlendemain, mais en retard en raison de sa visite prĂ©alable Ă  l’inspection du travail et n’avait pas Ă©tĂ© admis non plus Ă  travailler par l’employeur. Tout semble indiquer que le salariĂ© avait Ă©tĂ© licenciĂ© verbalement sauf que la cour d’appel de Rennes n’a pas retenu une telle analyse selon les juges, un courrier de l’employeur contredisait la rĂ©alitĂ© d’un licenciement, dĂšs lors qu’il Ă©tait demandĂ© au salariĂ© de justifier de ses absences. Conclusion si la jurisprudence de la Cour de cassation est constante sur l’interdiction absolue du recours au licenciement oral et sur ses consĂ©quences pour l’employeur, il apparaĂźt que dans les faits, les situations sont plus difficilement apprĂ©hendables et relĂšvent d’une analyse au cas par cas
 Si la dĂ©cision de la cour d’appel de Rennes nous semble contestable sur sa motivation, un seul conseil reste toutefois Ă  donner aux diffĂ©rents chefs d’entreprise mĂȘme face Ă  une situation dĂ©licate, faites trĂšs attention Ă  ce que vous dĂźtes Ă  vos salariĂ©s de façon Ă  ce qu’une invitation faite Ă  rentrer chez eux ne viennent pas Ă  s’analyser en un licenciement sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse Vendredi 30/11 entretien prĂ©alable avec mon responsable, assistĂ©e d’un de mes collĂšgues dĂ©lĂ©guĂ© du personnel. Le motif annoncĂ© est le suivant manque d’implication dans le cadre d’une prospection insuffisante pas de faute. Mon responsable me dit qu’il n’est pas forcĂ©ment d’accord avec le terme "manque d’implication". On me reproche un manque de visites clients, apparemment dĂ» Ă  une mauvaise organisation. Mon responsable me dit que mon unique homologue dans la sociĂ©tĂ© atteint son quota de visites et que ça fonctionne trĂšs bien. Je me doutais qu’il essayerait de m’atteindre par ce biais, je m’étais donc munie de documents comparatifs je lui indique que mon homologue rĂ©alise peut-ĂȘtre plus de CA que moi je ne sais pas, je n’ai pas accĂšs Ă  ses chiffres, mais que ce soit l’an dernier ou depuis mon retour cette annĂ©e, son nombre de visites n’est pas supĂ©rieur au mien. Lundi 03/12, j’envoie un mail Ă  mon responsable l’informant que, vu le contexte, je n’avais pas anticipĂ© ma prise de rdv, ne sachant pas si je serais encore en poste. Je lui demande de me dire concrĂštement si je dois continuer Ă  appeler mes clients pour fixer des rdv? Il me rĂ©pond que suite Ă  l’entretien du 30/11, aucune dĂ©cision dĂ©finitive n’a Ă©tĂ© prise et que donc il ne voit pas pourquoi je n'honorerais pas les rdv inscrits Ă  mon prĂ©visionnel de dĂ©cembre. J’espĂ©rais recevoir ma lettre de licenciement cette fin de semaine pour que mon calvaire cesse enfin et que je puisse faire valoir mes droits devant les Prud’Hommes normalement ils pouvaient me l’envoyer Ă  partir d’hier, mais je commence Ă  craindre qu’ils finissent par renoncer, faute de preuves tangibles. Que faire si jamais ils reviennent sur leur dĂ©cision? Je sais depuis presque 1 mois que je ne suis plus dans les projets 2013 et je suis toujours lĂ  Ă  aller voir mes clients comme si de rien n’était, c'est vraiment invivable Je ne me vois plus du tout travailler avec ces gens-lĂ , pour ĂȘtre commercial il faut ĂȘtre motivĂ©, avoir confiance en soi et foi en son entreprise alors que moi j’ai le moral et l’estime de moi-mĂȘme dans les chaussettes. Si finalement ils renoncent, ai-je un quelconque recours pour harcĂšlement moral ou autre? J’ai peur qu’ils me laissent en plan et m’obligent Ă  finir par dĂ©missionner. Merci d’avance pour vos conseils. Que faire si jamais ils reviennent sur leur dĂ©cision? Bonjour, En thĂ©orie, la dĂ©cision de l'employeur ne peut pas ĂȘtre prise avant les 2 jours qui suivent l'entretien prĂ©alable pour un Ă©ventuel licenciement. Vous ne pouvez donc pas dire que l'employeur reviendrait sur sa dĂ©cision ! L'entretien est justement fait pour que le salariĂ© s'explique sur ce qui lui est reprochĂ©. C'est seulement aprĂšs que l'employeur dĂ©cide s'il sanctionne ou pas. Donc au niveau ou vous en ĂȘtes, l'employeur peut tout Ă  fait dĂ©cider de laisser sans suite la procĂ©dure engagĂ©e. Bonjour, Mon but n'est pas de vous culpabiliser mais si vous vouliez vous faire licencier, quitte Ă  le contester aprĂšs, je ne comprends pas que vous ayez essayĂ© de vous dĂ©fendre aussi bien et de contester le motif invoquĂ© par l'employeur qui semble effectivement fragile, ce que vous lui avez peut-ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ© au point qu'il renonce Ă©ventuellement Ă  son projet... En l'occurrence, il ne s'agirait normalement pas d'un licenciement disciplinaire mais pour insuffisance professionnelle... __________________________Cordialement. Merci pour votre rĂ©ponse pmtedforum. J'avais cru comprendre que l'entretien prĂ©alable Ă©tait pourtant l'occasion d'argumenter et de montrer que la dĂ©marche de mon employeur n'Ă©tait pas justifiĂ©e. Par contre effectivement je commence Ă  me demander si je n'aurais pas dĂ» me contenter d'argmuents oraux, sans Ă©voquer l'existence de preuves matĂ©rielles de ma bonne foi... J'avoue que je ne sais pas quoi faire Ă  prĂ©sent, Ă  part attendre et espĂ©rer qu'une lettre de licenciement arrive enfin. Je ne me vois pas rester dans de telles conditions, je crois que je ne serai pas capable de supporter ça moralement. Ce que je trouve injuste, c'est que si toutefois ils renoncent, si j'ai bien compris, je ne pourrai plus rien faire contre eux malgrĂ© les tentatives d'intimidation qui ont prĂ©cĂ©dĂ© la mise en route de la procĂ©dure officielle de licenciement ? ils ont quand mĂȘme essayĂ© de me faire accepter une rupture conventionnelle de maniĂšre tout Ă  fait officieuse, et m'ont demandĂ© de rester chez moi pendant 2 jours sans aucune raison officielle Bonjour, C'est le but de l'entretien prĂ©lable que la salariĂ©e puisse s'expliquer, mais si elle ne le souhaite pas, Ă©ventuellement par stratĂ©gie, personne ne l'y force et mĂȘme sl elle ne s'y prĂ©sente pas, cela n'empĂȘche pas la procĂ©dure de se poursuivre... Je ne sais pas si vous avez la preuve Ă©crite que l'employeur ait en quelque sorte refusĂ© de vous fournir du travail pendant deux jours... De toute façon il ne servirait Ă  rien maintenant d'anticiper ce qui pourrait arriver, sauf Ă©ventuellement de demander au DĂ©lĂ©guĂ© du Personnel un compte-rendu de l'entretien prĂ©alable s'il ne vous l'a pas proposĂ© Ă  moins que lui aussi prĂ©fĂšre attendre la suite... __________________________Cordialement. Je suis pour ma part dans une situation similaire, Ă  ceci prĂšs que, malgrĂ© de bons rĂ©sultats, mon supĂ©rieur hiĂ©rarchique me dĂ©teste. Je crois que je ne flatte pas assez son Ă©go. J'ai des preuves de harcĂšlement, ai Ă©tĂ© convoquĂ© Ă  une entretien prĂ©alable il y a trois semaines... mais pas de suite Ă  ce jour car je viens d'obtenir un nouveau contrat important. Je suis toujours dans l'entreprise et il fait "comme si de rien n'Ă©tait" puisqu'il perdrait beaucoup Ă  me licencier sans motif et que je suis en mesure de dĂ©montrer son harcĂšlement. C'est assez invivable effectivement, surtout face aux clients et aux collĂšgues. Je pense Ă  la rĂ©siliation judiciaire mais cela peut durer, durer, durer, ce n'est donc pas une solution viable puisque le but est de faire cesser ce sketch sans dĂ©lai. Plus globalement, le droit du travail prĂ©voit le droit de retrait si l'on perçoit un "danger grave et imminent", par exemple pour sa santĂ©. Mais si on privilĂ©gie le combat Ă  l'abattement, simplement pour empĂȘcher que pareille situation ne se reproduise, alors on n'est pas "suffisamment en danger" au regard de la loi. En bref, on peut mettre un terme aux prud'hommes Ă  une situation dĂ©lĂ©tĂšre que si l'on est malade et abattu, pas si on rĂ©siste Ă  la pression morale. L'alternative est de partir dĂ©mission ou rupture conventionnelle mais rien n'empĂȘchera ce supĂ©rieur de se trouver une autre victime. Or, ce irresponsable doit ĂȘtre sanctionnĂ©. Bonjour, Pour une meilleure comprĂ©hension, il serait prĂ©fĂ©rable d'ouvrir un nouveau sujet... __________________________Cordialement. Jai pris une tĂ©lĂ© en destination des encombrants car mon travail a refait un nouveau bĂątiment et a donc jeter toute c tĂ©lĂ© j'en ai rĂ©cupĂ©rĂ© une en la mettant dans ma ci Ă©tait toute poussiĂšrĂ© et sans la prend un diamnche soir et le lundi matin j'allais prĂ©venir ma chef que je les prise et je me suis rĂ©tractĂ© je les remise a sa nai rien pris. Je suis convoquĂ© pour une entretien mars. J'ai commis quoi comme Faute?. Cette tĂ©lĂ© allait finir aux encombrants de toute niveau travail ils n'ont rien a me reprocher. Vais je ĂȘtre licenciĂ© ?. Bonsoir GĂ©nĂ©ralement un entretien prĂ©alable est destinĂ© Ă  Ă©voquer le licenciement. Faites vous assister par un conseiller du salariĂ©. __________________________Tout visiteur Ă  droit au respect et attend des infos objectives centrĂ©es sur son sujet ... Incriminer, blĂąmer, critiquer, est intolĂ©rable et prĂ©judiciables pour Legavox. Toute contrevenance est effaçable. Merci Ă  tous d’ĂȘtre attentifs. 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